Une fois engagé dans une randonnée, le randonneur, amateur ou expérimenté, doit impérativement laisser des traces pour l‘identification de l’itinéraire de sa randonnée. Cependant, disons un mot du syndrome du mouton Celui-ci se rencontre beaucoup l’hiver et cause pas mal d accidents de ski: y a des traces, on peut y aller ! Il y a des gens, on peut suivre leurs itinéraire de randonnée, etc. En réalité, une trace n’est gage de rien, surtout sur la neige. Ne parlons pas des glaciers où les ponts de neige fondant un peu chaque jour, il convient de refaire au mieux la trace à chaque passage, mais il en est de même si vous avez à traverser un simple névé. Et le matériel ? En dehors des éléments-clés cités plus hauts (chaussures, vêtements, etc.), il dépend évidemment du terrain et en fait va de soi dès qu’on a affaire à des aspects spécifiquement haute montagne En gros, si vous ne savez guère quel matériel prendre pour vous déplacer sur un glacier, abstenez vous, ou prenez un guide!
Ce qu’on peut recommander à tous, par contre, c’est l’usage des barons de randonnée, qui n’ont que des avantages: ils améliorent l’équilibre, ménagent les genoux et diminuent l’effort des cuisses, à la montée comme à la descente En terrain instable ,ils pourront vous éviter une entorse si vous avez à franchir des névés n’hésitez pas à vous munir d’un piolet; il existe des modèles dits de randonnée (l’engin pour cascades de glace au manche de 40 cm ne vous sera d’aucune utilité) légers, peu chers et tout à fait adaptés.